jeudi 27 septembre 2012

LA SANTÉ, LA MALADIE, LA VIE, LA MORT … ?





                        LA  SANTÉ,  LA  MALADIE,  LA  VIE,  LA MORT … ? 




LA SANTÉ, un bien précieux et fragile comme le cristal.

     Quand on voit combien complexe et délicat est l’être humain, quand on essaie de comprendre les systèmes vitaux qui assurent, dans un équilibre subtil, le bon fonctionnement du corps et du mental, comment ne pas s’émerveiller ?
      Quand on prend connaissance de la multitude des facteurs nocifs susceptibles d’altérer la santé ou de la compromettre gravement, comment ne pas être frappé de la fragilité de ce miracle permanent ?*

                            LA SANTÉ, LA VIE,  NE TIENNENT QU’À UN FIL.

LA MALADIE reste une chose imprévisible dans sa survenue comme dans son évolution.

      Notre propre expérience et celle des témoins fiables qui nous ont rapporté leurs observations démontrent comme il est souvent dangereux et toujours imprudent d’émettre un  pronostic dans le domaine de la santé : souvent dangereux, car un pronostic négatif peut être reçu comme un arrêt de mort, toujours imprudent car l’évolution d’une maladie est une chose très aléatoire. Comme le météorologue, le médecin doit être humble et reconnaître que l’avenir ne lui appartient pas. Même d’un coma en mort clinique confirmée on voit des gens sortir.
      Manuels de médecine, encyclopédies et Inter net, donnent certes des chiffres de survie moyenne, surtout quand il s’agit de maladies comme l’Alzheimer, le Parkinson, l’insuffisance cardiaque ou rénale, les leucémies ou les cancers. Ces chiffres sont périodiquement remis en cause par suite du progrès des traitements. Ce ne sont que des moyennes, c'est-à-dire des probabilités calculées à partir de statistiques, ces probabilités n’ont de sens que lorsqu’on les applique à une population assez nombreuse. Mais il est une loi qu’apprennent tous les étudiants en statistique : on ne peut rien déduire de ces moyennes concernant le cas d’une seule personne.   
      Les cas ne manquent pas : ce cancer du sein qui a trainé sans douleurs ni complications et sans soins médicaux pendant vingt ans, cet Alzheimer, qui ne s’est aggravé que trente ans après les premiers signes, ces séropositifs qui n’ont jamais déclaré un sida … et, inversement, de ces personnes qui avaient toutes les chances de guérir et que la maladie, malgré un traitement prompt et adéquat, a emporté en quelques mois.
EN MÉDECINE PRÉVENTIVE également le caractère aléatoire de toute prévision quand il s’agit de la santé doit entraîner une très grande prudence, surtout quand il est question de prescrire un traitement médicamenteux préventif. Tout catastrophisme n’a en ce domaine aussi que des effets négatifs regrettables et une prescription au long cours doit être mûrement réfléchie.

        AU GRAND THÉÂTRE DE L’EXISTENCE, RIEN N’EST JAMAIS GAGNE
                                        MAIS RIEN N’EST JAMAIS PERDU
          Et le médecin doit sans cesse se souvenir du « PRIMUM  NON  NOCERE » :
                                   LA  PRIORITÉ  EST  DE  NE  PAS  NUIRE

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* ce qui justifie la remarque désabusée d’une lectrice du livre « Comment perdre la santé » disant qu’elle se demandait : « comment on pouvait encore subsister au milieu de tant de dangers ! »

lundi 10 septembre 2012

LES VACCINS



LES  VACCINS :

Il s’agit d’un sujet polémique en France

      La vaccination propose une augmentation des résistances vis-à vis d’une maladie infectieuse donnée ; il s’ensuit que le nombre des vaccins envisageables est considérable.
Son extension récente pose des questions à qui prend en compte le grand précepte médical : « d’abord ne pas nuire ». La vaccination semblait être une panacée mais des limites et des inconvénients sont vite apparus.   


LES  VACCINS, UN SUJET TABOU 
      Qui critique une vaccination ou une obligation vaccinale est vite étiqueté rétrograde, ignorant ou membre d’une secte, sans que personne n’écoute ses raisons.
      Pourtant tous les spécialistes savent que seuls les vaccins  récents ont été soumis à des études épidémiologiques avant leur mise sur le marché et que ces études, même réalisées rigoureusement, ne se préoccupent que de l’absence de nocivité immédiate. En pratique, les premiers vaccinés servent  de témoins pour les effets secondaires à moyen ou long terme, tout autant que pour la durée de la protection supposée.
     On a vu, dans les dernières décennies, apparaître des vaccins dont l’utilité est discutable quand on les propose, et parfois les impose, à toute une population, le plus souvent à des générations d’enfants ou d’adolescents.
     L’usage, déjà ancien, des premiers vaccins, antivariolique, antitétanique, antidiphtérique, BCG, antipoliomyélitique, n’a été précédé que de recherches empiriques qui, actuellement, ne paraîtraient pas satisfaisantes. Certes leur emploi a coïncidé, assez souvent, dans les pays qui les ont mis en œuvre, avec un recul des maladies infectieuses correspondantes, sans qu’on puisse discerner ce qui leur est strictement dû, étant donné l’évolution des conditions de vie et d’hygiène. Les épidémiologistes savent bien que « coïncidence n’est pas preuve » !
     Ceci dit, leur généralisation a entraîné des effets secondaires, pas toujours bénins, et rien ne prouve que les mêmes résultats n’aient pu être atteints sans les avoir utilisés aussi massivement.
     La vérité est qu’ ON NE SAIT PAS GRAND-CHOSE SUR LES EFFETS DES VACCINS SUR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE. De l’aveu même d’un promoteur de la vaccination on ne sait pas précisément comment agissent les vaccins (1). Peu d’études ont été menées à ce sujet; la plupart d’entre elles ne s’intéressent qu’aux effets immédiats et, principalement, à l’apparition des anticorps concernant la maladie en question. Les modalités et les conséquences de l’activation, voire du déséquilibre, du système immunitaire lors d’une  vaccination sont peu connues.
     Aussi est-il, pour l’instant, impossible de conclure, sur ce point, à l’innocuité des vaccinations à moyen et long terme.


ADJUVANTS  ET ACTIVATEURS.
      Un vaccin est essentiellement un antigène spécifique, microbe atténué ou mort ou partie de ce microbe. Cet antigène agit sur le système immunitaire du sujet vacciné et peut faire apparaître des anticorps protecteurs contre la maladie que le microbe est susceptible d’entraîner.
      La production de ces anticorps resterait faible et surtout trop passagère si l’on n’ajoutait pas un adjuvant prolongeant l’excitation du système immunitaire. Des conservateurs, des antiseptiques sont ajoutés pour éviter une altération du vaccin durant le temps qui s’écoule entre sa fabrication et  son injection. Enfin divers excipients peuvent aussi être ajoutés pour des raisons d’ordre technologique.
     Il s’ensuit que la plupart des vaccins contiennent des produits indésirables, allergéniques, ou  notoirement toxiques, comme le formol, ou très suspects, comme l’alumine ou le thiomersal, un dérivé mercurique. Au lieu même de l’injection, on a pu observer, bien longtemps après, une inflammation tissulaire importante.
     Pourtant on pourrait employer des activateurs inoffensifs, comme le phosphate de calcium, utilisé pendant des années par l’Institut Pasteur. Mais lors de la fusion  Pasteur Mérieux, le phosphate de calcium a été abandonné, au motif d’une « commodité » de production (2).


 LES VACCINATIONS SYSTÉMATIQUES ET OBLIGATOIRES SONT – ELLES RÉELLEMENT JUSTIFIÉES ?
 Chez les scientifiques indépendants l’idée a progressé et semble actuellement prévaloir de cesser d’utiliser systématiquement certaines vaccinations et de ne vacciner que des groupes ciblés.
        En France, dans l’immédiat, l’influence des idées de Louis Pasteur, élevé au statut de héros national, fait de la question un sujet des plus polémiques. Les autorités médicales ont longtemps accueilli sans discussion tout nouveau vaccin proposé par l’industrie.

UN PEU D’HISTOIRE
       La situation française peut être mieux saisie quand on examine pas ce qu’est devenue cette institution centenaire qu’est l’Institut Pasteur.
       Cet Institut privé à caractère humanitaire a acquis dés sa création un prestige international. Mais dans les années 1960, l’Institut connaît des difficultés financières et l’ État ne remplit pas son devoir. Selon un schéma qui concernera plus tard bien des entreprises d’intérêt général, l’Institut Pasteur est d’abord démantelé  et sa partie « production »devient une entreprise privée, avant d’être absorbée par les Laboratoires  Mérieux. Dés lors la vision gestionnaire prévaut et l’on va voir « abandonner tout ce qui coûte davantage que ça ne rapporte »: par exemple, la production du test de détection des antigènes antidiphtériques, qui permettait d’éviter la revaccination dans bien des cas, et la production des allergènes, à l’époque utilisés par très peu de médecins, sont abandonnées; les vaccins les plus anciens ont fait leurs preuves mais leur prix est resté trop bas ; on promeut  de nouveaux assemblages, beaucoup plus chers, en abandonnant progressivement les premiers. La « recherche » devient le bureau d’études d’une entreprise qui doit devenir rentable. Les maladies rares, les maladies tropicales, tant que les pays du Tiers Monde resteront pauvres, ne sont plus l’objet de recherches…
       Tout cela se fait dans le silence, ni les Ministres successifs de la Santé, ni l’Ordre des pharmaciens, ni l’Ordre des Médecins ni l’Académie de Médecine ne s’émeuvent de la lente dérive d’une institution restée plus de cinquante ans « au service de l’humanité ».                 
        L’esprit de l’Institut  est mort mais les vaccins, en France, bénéficient encore du prestige initial du « grand savant national» que seuls quelques mauvais esprits soigneusement marginalisés osent remettre à sa place…

PREMIER PROBLÈME :
 contrairement à de fort nombreux pays, les autorités sanitaires françaises maintiennent les obligations vaccinales, parfois sans rien entendre. Ainsi le vaccin antivariolique, sous la pression de l’Académie de Médecine, fut laissé obligatoire en France plusieurs années après que l’Organisation Mondiale de la Santé ait proclamé l’éradication totale de la maladie. L’exemple de l’éradication de la variole  par des actions ciblées n’est d’ailleurs pas en faveur des vaccinations systématiques de masse.
     Que dire quand on s’aperçoit, après plus de cinquante ans de vaccinations obligatoires par le BCG, qu’il n’a qu’une trop faible efficacité contre la tuberculose pulmonaire dont il était censé protéger ?  Des dizaines d’années ont passé après les premiers appels de pneumologues assez sensibles aux effets indésirables de ce vaccin pour réclamer l’arrêt des vaccinations obligatoires des nourrissons et des revaccinations indéfinies chez les sujets dont la cuti ne virait pas. Il y a également eu bien du temps de passé entre la décision de l’Organisation Mondiale de la Santé de cesser cette vaccination  et celle du gouvernement français de limiter la vaccination BCG aux seuls nourrissons à risque de méningite tuberculeuse.  Pourtant le caractère puissamment stimulant de ce vaccin vis-vis du système immunitaire était bien connu puisqu’il a été utilisé dans le traitement de cancers, tandis qu’on pouvait constater  une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes…

DEUXIÈME PROBLÈME :
 alors que l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière est reconnue assez médiocre par les études scientifiques, en particulier aux deux âges extrêmes de la vie (3), la vaccination annuelle reste proposée et remboursée aux personnes âgées, alors qu’on sait qu’elles s’immunisent moins bien, et parfois imposée aux personnels soignants. Une récente publication française restée en faveur du vaccin anti grippal saisonnier ne résiste pas à une analyse sérieuse, tandis que deux publications américaines confirment la mise en doute déjà ancienne de son efficacité chez les personnes âgées, principales cibles de la vaccination anti grippale en France, vaccination devenue systématique dans les établissements hébergeant nos anciens (4). L’observateur devient perplexe quand il apprend que le G.I.E.C., qui est chargé de suivre les épidémies de grippe et lance sans cesse des campagnes en faveur de la vaccination, est un organisme entièrement et directement financé par l’industrie pharmaceutique.

TROISIÈME PROBLÈME:
 sans qu’ils soient obligatoires selon la loi, des vaccins de plus en plus nombreux sont imposés dans les faits aux enfants. C’est ce qui s’est passé récemment  quand est devenu plusieurs mois indisponible en pharmacie le vaccin triple composé des seuls vaccins légalement obligatoires  (diphtérique, tétanique et poliomyélitique). Étaient seulement disponibles des vaccins penta, hexa ou heptavalents, contenant en outre des vaccins simplement conseillés et, en fait, d’utilité discutable. Ainsi les parents qui refusaient les vaccins non obligatoires ne pouvaient y échapper qu’en se mettant hors la loi. Aujourd’hui un seul vaccin triple est disponible sur le marché  et les autorités sanitaires, les laboratoires et la presse médicale la plus lue, tout pousse les médecins à prescrire les vaccins polyvalents. Dans ces vaccins on trouve des antigènes visant des maladies infantiles, comme les oreillons ou la rubéole, maladies toujours bénignes quand elles surviennent à cet âge et qui procurent alors une protection durant toute la vie..
      Dans ces vaccins polyvalents, on  trouve aussi la rougeole, dont la présence est justifiée, nous dit-on, par les rares cas de complications graves. Quand un enfant fait la rougeole, il est protégé définitivement contre cette maladie et ne la contractera pas à l’âge adulte.  Le vaccin ne procure qu’une protection partielle et passagère. Dans une génération vaccinée on observe une multiplication des cas de rougeole chez des adultes, à un âge où cette maladie prend plus volontiers un caractère grave. Les vaccinalistes ne voient qu’une seule solution : revacciner périodiquement toute la population dans l’espoir d’une éradication. Cet espoir est-il raisonnable et est-ce vraiment la bonne solution?


QUATRIÈME PROBLÈME :
 de nouveaux vaccins sont lancés sur le marché avec beaucoup de publicité et l’aide des pouvoirs publics sans qu’il soit fait la preuve ni de leur utilité  ni de leur innocuité. Ce fut le cas du vaccin anti hépatite B, c’est encore le cas pour les vaccins anti papillomavirus dits « contre le cancer du col ».
       Le vaccin anti hépatite B fut, en 1994, vivement proposé à toute la population, à travers une propagande officielle et pharmaceutique affirmant une urgence inexistante (5). La menace fut délibérément exagérée concernant une maladie aisément évitable sans vaccin dés lors que les précautions anti sida sont adoptées, les deux virus ayant les mêmes modes de transmission. Ce vaccin inutile pour la plupart des gens n’a pas manqué d’engendrer un nombre non négligeable d’effets secondaires graves, comme on aurait dû s’y attendre quand on veut vacciner une population entière.
      Les vaccins anti papillomavirus ne peuvent protéger que de quelques virus parmi toute une famille ayant les mêmes effets. Leur lancement fort médiatisé n’a pas attendu le recul suffisant pour s’assurer de toute innocuité. Là aussi la publicité massive n’a pas lésiné sur les approximations et les inexactitudes en travaillant sur l’effroi provoqué par le mot « cancer » et en avançant des chiffres faux concernant la gravité de l’infection virale et la fréquence du cancer (6). De l’aveu même de leurs promoteurs ces vaccins coûteux ne peuvent nullement remplacer le dépistage par frottis, imposant ainsi une nouvelle et notable dépense au système de protection sociale pour un bénéfice proche de zéro.
       On aboutit à un comble quand, dans l’été 2009, le gouvernement, conseillé par un « Comité de lutte »(7), alloue prés d’un milliard d’euros à la commande de vaccins contre la grippe A (H1N1), alors que personne ne sait ni s’ils seront efficaces, ni s’ils seront sans dangers, ni s’ils seront prêts en temps utile (8). Puis, quand le vaccin est prêt, il est décrété que les nourrissons et les femmes enceintes seront à vacciner en premier, alors que les études scientifiques ont conclu à l’inefficacité totale des vaccins contre la grippe chez les enfants de moins de deux ans (9). Le flop du vaccin H1N1 destiné à toute la population et que pas un Français sur dix n’a effectué est tout à fait réjouissant. Il montre la maturité d’une population qui ne s’est pas laissée manipuler par une campagne gouvernementale et médiatique visant à l’apeurer. L’épidémie annoncée à grand renfort médiatique n’a pas eu lieu. Le bilan financier de cette campagne effrénée n’a pas été publié et la ministre responsable n’a pas démissionné alors que ses liens antérieurs avec l’industrie pharmaceutique ne faisaient pas de doute.
       Cette histoire est grave car elle est venue accroître la défiance envers les pouvoirs publics responsables de la santé : que se passerait-t-il en cas de réel danger ?


VACCINS ET MÉDICAMENTS, MÊME DÉRIVE : leur existence et leur disponibilité pour tous restent un progrès mais l’irruption des intérêts privés d’industries devenues des multinationales assez riches pour orienter les politiques de santé, aussi bien au niveau national que mondial, détournent ces politiques de leur objet premier. 
      Le bon sens, qui rallie heureusement de plus en plus de médecins indépendants, n’est-il pas de se limiter à vacciner contre les maladies pour lesquelles il n’existe pas encore de prévention, qu’on ne sait pas traiter facilement par des médicaments ou qui restent trop dangereuses pour en risquer l’apparition ? Quant aux vaccins eux-mêmes, n’est-il pas clair que leur autorisation de mise sur le marché devrait être plus rigoureuse et en particulier éliminer toute présence de produits connus comme dangereux  ou très suspects de l’être ?


Bibliographie

    1/    « La saga des vaccins contre les virus » – Jean François Saluzzo – éd. Belin
    2/    Interview du Directeur de l’institut Pasteur en 2012 dans laquelle il se félicite de la
             « Rationalisation » de la production consécutive à la fusion « Pasteur Mérieux »
    3/    Revue sur les vaccins anti grippaux :  Lancet infectious diseases  - Oct. 2007 – vol. 7
    4/  (a)  « Recul spectaculaire de la mortalité due à la grippe » I.N.E.D.
             In « Populations et société » N° 470 Septembre 2010
         (b) « Mortality benefits of influenza vaccination in elderly people:
     an ongoing controversy » - Lancet infectious diseases – Oct. 2007 – vol. 7
         (c) “Influenza vaccination policy versus evidence” British Medical Journal 28/10/06
    5/    voir à ce sujet la mise au point n°6 sur « L’hépatite B » disponible sur demande
    6/    « Vaccinations, les vérités indésirables » - Michel Georget – éd. Dangles - 2009 
    7/   Comité compose d’experts dont on s’apercevra vite qu’ils sont loin d’être indépendants
    8/   voir à ce sujet la mise au point n°17 sur  “la grippe A” disponible sur demande
    9/   Cochrane data base – Smith and al – 1 - 2006