QUAND LE DIABÈTE S’ANNONCE…
Votre taux de sucre (glucose) dans le sang (la glycémie) s’élève- on parle alors d’hyperglycémie-
S’il n’y a pas de sucre dans les urines, ce n’est pas un diabète, mais cela pourrait le devenir.
C’est un état pré diabétique.
La première chose à faire est de contrôler ce résultat par une nouvelle analyse, voire deux au moindre doute.
Si l’anomalie se confirme, il n’est pas conseillé de se précipiter sur des médicaments stimulant le pancréas, leur innocuité est aujourd’hui mise en question et la plupart d’entre eux sont, à long terme, inefficaces.
C’est le moment de prendre quelques mesures afin d’enrayer cette évolution
Quand la glycémie s’élève, c’est que le pancréas est fatigué, par suite de l’apparition d’une « insulinorésistance » : les tissus utilisateurs devenant de moins en moins réceptifs à l’insuline sécrétée par le pancréas.
Pour le reposer, plusieurs pistes :
on n’insistera jamais assez sur l’EXERCICE PHYSIQUE, raisonnable, mais régulier et quotidien. La marche et la natation sont excellentes. S’Y REMETTRE PEUT PARFOIS SUFFIRE POUR TOUT REGULARISER.
A mesure que l’on étudie l’effet de l’exercice sur la santé, on s’aperçoit qu’il est un facteur protecteur contre les maladies. Chacun a donc à gagner à en pratiquer régulièrement
la piste alimentaire est étendue, son étude a amené des nutritionnistes à établir une échelle traduisant la façon dont un élément nutritif fait monter la glycémie, c’est « l’index glycémique ». Dans la pratique il est plus courant d’absorber plusieurs éléments nutritifs associés. C’est pourquoi l’index glycémique est un indicateur utile mais à utiliser avec discernement.
Il s’agit d’adopter progressivement une alimentation bonne pour le corps, sans brimer le psychisme qui souffrirait d’un changement trop rapide et trop intransigeant.
D’abord ne pas se suralimenter.
Diminuer, LE PLUS POSSIBLE, les apports en sucre blanc, saccharose pur, vite décomposé en glucose dans l’organisme. Attention aux confitures habituelles qui contiennent entre 40 et 6O % de sucre, aux sodas et boissons « à base de fruits », en fait largement sucrées, aux pâtisseries et desserts artisanaux ou industriels, en général très sucrés. Attention aux sorbets ; le sucre des glaces fait moins monter la glycémie parce qu’il est lié à des matières grasses qui en retardent la digestion mais ce n’est pas une raison pour en abuser ! L’alcool, dans l’organisme, après une série de transformations finit en glucose : il vaut mieux éviter habituellement les alcools et les liqueurs, ainsi que la bière qui contient à peu prés autant de sucres que d’alcool et limiter la consommation de vin aux quantités ordinairement admises. « Le plus possible », qu’est-à-dire ? sinon qu’il ne s’agira pas de se stresser par des restrictions pénibles et qu’il faudra savoir faire la fête quand c’est le moment, tout en cheminant progressivement vers le mieux, en prenant son temps. Ainsi est-il possible de retrouver le goût des compotes sans sucre, en commençant par des confitures moins sucrées, puis par des compotes sucrées à 30 puis 20 %, puis 10%.
Ne pas exagérer sur le chocolat, préférer les chocolats noirs, moins riches en sucre. Le miel, le sucre intégral qui sont préférables au sucre blanc ne diminuent pas suffisamment l’apport en glucose pour représenter une solution absolue. Les édulcorants ? Le moins possible car aucun n’est sans reproches, tous entretiennent le goût pour le sucré, mais ils peuvent être au moins passagèrement un moyen de ne pas se faire trop souffrir, surtout au début du changement. Il vaut mieux recourir au fructose, du moins si les « triglycérides » du sang sont normaux
Diminuer aussi les aliments raffinés : farine blanche et riz blanc. Préférer une farine bise pour la pâtisserie, le pain bis ou semi-complet ou le pain aux céréales, et le riz complet ou semi-complet.
Ne pas exagérer sur le lait : le lactose qu’il contient (50 grammes par litre) quand il est digéré, se décompose, à part égale, en galactose et glucose. Qu’en est-il des autres produits laitiers ? Les fromages ne contiennent plus de lactose mais la caséine, qu’ils comportent comme le lait, a été incriminée, sa digestion difficile aboutit à de grosses molécules protéiques dont certaines ressembleraient à des constituants des cellules de Langherans du pancréas (celles qui produisent l’insuline). Si un intestin fragile, comme celui du nouveau-né ou de la personne âgée, laisse passer dans la circulation générale quelques unes de ces grosses molécules, le système immunitaire va les détruire et peut s’en prendre alors aussi aux cellules du pancréas ; ce mécanisme n’explique pas tous les diabètes mais il a été mis en évidence dans certains diabètes de l’enfant. Par contre, dans les laits fermentés comme les yaourts, la caséine est prédigérée, il s’ensuit que ce sont les meilleurs produits laitiers.
Préférer les fruits les moins sucrés, qui de plus sont souvent ceux qui contiennent le plus de pectine, une « fibre » qui abaisse la glycémie : la pomme est excellente, préférable à la poire, les petits fruits plus ou moins acides préférables au raisin, les agrumes préférables aux bananes, les noix et noisettes préférables aux dattes …
Enfin manger toutes sortes de légumes, légumes frais ou légumes secs, sans exagérer sur les carottes, betteraves, petits pois et pommes de terre dont la digestion aboutit assez rapidement à du glucose. - L’un des aliments qui font monter le plus vite la glycémie est la purée de pommes de terre passée au mixer (ou la purée reconstituée à partir d’une poudre) car les grains d’amidons y sont déjà broyés. Dans les frites la chaleur élevée a également désorganisé cet amidon et le résultat est similaire.
AU TOTAL, L’ALIMENTATION, DANS LE CAS PRESENT, N’EST GUERE DIFFERENTE DE CELLE QUI EST CONSEILLEE A TOUTE PERSONNE SOUCIEUSE DE SA SANTE.
NE PAS OUBLIER QUE :
- SI L’ALIMENTATION EST IMPORTANTE, LE VIRAGE DIETETIQUE DOIT ETRE PRIS EN DOUCEUR, SANS SE STRESSER
- CES INDICATIONS CONCERNENT LES PERSONNES QUI ONT UNE GLYCEMIE TROP ELEVEE SANS QU’ELLES AIENT BESOIN D’INSULINE.
LE DIABETE EST UNE MALADIE DE CIVILISATION
Le stress, la sédentarité et le manque de sommeil imposés par le mode de vie et les conditions de travail sont impliqués dans l’extension récente et considérable de cette maladie.
dimanche 16 décembre 2018
Insomnies
La grippe A
POINT DE VUE édité en 2009
La grippe A … le battage bat son plein
Faut-il y ajouter ?
Rappeler que, depuis qu’elle sévit, infiniment davantage d’enfants sont morts de faim, de paludisme, ou de diarrhées infectieuses et qu’on n’en parle guère.
Constater que les pouvoirs publics ont « ouvert le parapluie » au maximum, sans lésiner sur les dépenses, achetant des tonnes de Tamiflu, à l’efficacité relative et aux effets secondaires non négligeables, et passant commande de vaccins sans savoir s’ils seront efficaces, sans danger, et prêts en temps utile.
Mais il nous fallait réagir : dans l’abondante littérature qui s’étale sur le sujet, nous n’avons vu nulle part qu’en cas de grippe, il est impératif de se mettre au repos et de rester chez soi au chaud et au repos complet, pendant une semaine et ceci quelque soit son âge : faillir à cette règle, que connaissaient bien les médecins quand il leur était encore enseigné une hygiène raisonnable, c’est s’exposer à toutes les complications, sinusites, otites, bronchites ou pneumonies.
Seulement, voilà : le système actuel préfère nous faire consommer du Tamiflu, des antibiotiques, des anti-inflammatoires, des vaccins, des masques et des gants que d’accorder quelques jours d’arrêt maladie..
Il est certain qu’un jour ou l’autre et quelques soient les précautions prises chacun d’entre nous sera en contact avec le virus A. Celui-ci apparaît plus virulent chez les jeunes, ce qui ne peut guère s’expliquer que par l’existence d’une résistance chez les personnes ayant déjà été en contact avec les autres et plus anciens virus grippaux : d’où l’intérêt de relancer cette protection par deux doses d’Influenzinum 9CH ( de 2008, le seul disponible actuellement ), prises à une semaine d’intervalle .
Bien sûr éviter le surmenage : il est toujours l’allié de la maladie
Si, malgré cela vous attrapez la grippe : restez chez vous au repos et au chaud, buvez de l’eau ou des tisanes. Que dire d’un grog…sans doute bon pour le moral si on aime… !
Si vous êtes partisan des huiles essentielles, mettez deux gouttes de Ravintsara sous chaque poignet et quatre gouttes dans le haut du dos ; cette huile essentielle est généralement très bien tolérée, c’est l’une des rares huiles essentielles que l’on peut mettre sur la peau sans la diluer dans une huile alimentaire. Par précaution, si vous êtes de nature allergique, testez auparavant avec une goutte au pli du coude, si, dans le quart d’heure, il n’y a pas de rougeur, c’est bon.
Éviter toute huile essentielle pendant les 3 premiers mois d’une grossesse.
Surveillez votre température, jusque 40° pas d’affolement pour un adulte, à cette température le virus meurt. Si vous avez trop mal (courbatures, maux de tête) prenez du paracétamol mais pas d’aspirine (à réserver si la température continue à monter plus haut que 40°, mais on peut aussi dans ce cas se faire un bain frais).
Attention, chez l’enfant, vous le savez sans doute mais il faut le rappeler, une fièvre élevée ne doit pas être tolérée.
En général, le troisième jour d’une grippe, la fièvre tombe, laissant la place à une fatigue qu’il faut respecter impérativement : voir plus haut !
Dans la grande majorité des cas, une grippe ne nécessite pas l’intervention d’un médecin, celle-ci ne s’impose qu’en cas de complication, grosse gène respiratoire, persistance anormale d’une fièvre élevée ou survenue d’une grippe chez une personne déjà affaiblie.
Adé et boène santé tértous *!
*= au revoir et bonne santé à tous, en picard.
AGORA septembre 2009
Solidarité et Equité
RÉFLÉCHIR A LA SOLIDARITÉ édité en novembre 2011
Est-il possible de mettre de côté la question de la solidarité quand on parle de santé pour tous ? La réponse est évidente : une société basée sur la concurrence et la compétition peut parfois conforter la santé des plus doués et des plus chanceux, mais tant pis pour les autres !
La santé n’est pas donnée à tous d’emblée et de la même façon : face à cette inégalité incontestable il n’y a d’autre réponse civilisée que de s’organiser ensemble et donc d’organiser la société de telle sorte que d’abord chacun ait les meilleures chances de rester en bonne santé et de la faire s’épanouir et qu’ensuite ceux qui, malgré cela, sont handicapés ou tombent malades bénéficient de tout ce qui peut leur rendre la vie vivable.
Un « libéralisme » tel que celui qui règne aujourd’hui sur la planète ne cesse de détruire tout ce que les Etats avaient institué pour organiser la solidarité et faciliter l’existence des défavorisés. Il peut se le permettre car il a préparé les esprits par un patient travail de sape qui lui a acquis la presque totalité des supports d’information. Ainsi il a réussi à faire passer au premier plan des valeurs respectables certes mais qui avaient jusqu’alors une place modeste dans l’échelle des valeurs.
Ainsi en est-il de la « responsabilité » individuelle quand elle se traduit, dans les faits, par la culpabilisation des pauvres, des sans emploi, et, plus ou moins insidieusement, des trop vieux et des malades, « improductifs qui coûtent » …
Ainsi en est-il de la « justice fiscale » quand on l’exprime dans le discours : « est-il juste que MOI, qui travaille tant et ne touche aucune allocation, JE paye tant d’impôts alors que tant d’autres ne payent rien du tout ? »
Ainsi en est-il de « l’humanitaire » quant il passe avant l’équité : le système veut bien distribuer du pain, des pommes de terre, du riz et des pâtes aux démunis mais il n’admet pas que vivre soit un droit !
La malheureuse parole de Paul de Tarse : « que celui qui ne travaille pas ne mange pas non plus » n’a cessé de faire des ravages !
Oh ! Personne ne s’en prend directement à la solidarité, on se contente d’enfoncer le clou sur le « gouffre » que représenterait une Sécurité Sociale, dont jour après jour, les mêmes, partisans de la « libre entreprise », s’emploient à rétrécir les ressources et à augmenter les dépenses.
La solidarité face à la maladie, au handicap, à la perte de l’emploi est une vieille question. On a pu la croire réglée, dans la France de 1945, au sortir d’une guerre sans pareille. A cette époque, financiers et grands patrons se faisaient tout petits pour faire oublier leurs collaborations avec le nazisme. Par la suite l’argent est revenu au pouvoir, d’autant plus facilement que l’idée de solidarité n’avait, passagèrement, triomphé que dans quelques pays d’une « vieille Europe » incapable de résister à l’idéologie ultralibérale envahissant le monde.
Il ya une chance pour la solidarité aujourd’hui : le système a témoigné de son incapacité à assurer un vrai progrès ; il est de jour en jour plus évident qu’il mènerait l’humanité à sa perte s’il se prolongeait. Il ne saurait bien longtemps encore bloquer l’immense aspiration des humains à établir un ordre des choses où la fraternité soit davantage qu’un vain mot et devienne une réalité.
Les cheveux ou hygyène corporelle édité en aout 2012
Mise au point N°4
L'invention des shampoings a été accompagné d'un déferlement de publicité, les plus anciens se souviennent sans doute de "Dop, Dop, Dop, adoptez le shampoing Dop !"
En France, l'usage du shampoing ne se répand qu'aprés 1945; pourtant nos grands-parents ne les avaient pas attendus pour avoir des cheveux propres.
A cette époque les shampoings sont des dilutions du premier détergent fabriqué à partir du pétrole: le teepol. Par la suite , les bases lavantes vont se diversifier, toujours cependant constituées par des produits détergents, c'est-à-dire capables de dissoudre complétement et même à froid les graisses les plus rebelles.
C'est là que le mieux devient l'ennemi du bien; notre peau a besoin de corps gras pour vivre et remplir ses fonctions de protection, et c'est bien pour cela qu'elle en produit par ses minuscules glandes sébacées.
L'USAGE REPETE DES SHAMPOINGS FAIT MONTER LES RISQUES
Quelques années aprés la popularisation des shampoings, les dermatologues vont constater une nette augmentation des affections du cuir chevelu: simple irritation, avec démangeaisons et pellicules, eczémas, mycoses, perte de cheveux. On voit même des calvities précoces chez des femmes, chose rarissime auparavant.
CELA S'EXPLIQUE PAR L'EFFICACITE DES AGENTS LAVANTS
Le cuir chevelu n'est guére différent de la peau, mais il est plus sensible à l'action des agents extérieurs mis à son contact: il est plus malaisé de le bien rincer, un agent aggressif risque davantage de rester présent plus longtemps en quantité suffisante pour agir.
LA COUCHE GRASSE PROTECTRICE ( LE SEBUM ) EST DÉTRUITE
Le corps gras produit par les glandes sébacées protége le cuir chevelu du désséchement, forme une isolation du froid et du chaud, rend le cuir imperméable, interdisant ainsi la pénétration des agents étrangers dans les couches profondes de la peau.
Une production normale de sébum assure le léger brillant des cheveux sains.
L'inconvénient, c'est que comme tout corps gras, le sébum fixe facilement les poussiéres, c'est l'encrassage. Il est donc bon d'éliminer le vieux sébum de temps en temps, mais non pas constamment. L'excés de nettoyage fait réagir le cuir chevelu, il se met à produire de plus en plus de sébum; les glandes productrices s'emballent aboutissant à des cheveux de plus en plus gras; à moins qu'elles ne s'épuisent, aboutissant à des cheveux de plus en plus secs
LES CELLULES DU CUIR CHEVELU se déchaussent
L'épiderme du cuir chevelu est composé, comme celui de la peau, de couches de cellules qui sont de plus en plus amincies quand on va de l'intérieur à l'extérieur; la couche la plus superficielle ressemble à une toiture dont les ardoises seraient les cellules tenues les unes aux autres par de minuscules crochets, Lorsqu'une cellule superficielle a fini son usage, après un certain temps, les crochets cèdent et la cellule se détache, elle desquame. Cette desquamation naturelle se fait lentement, donnant naissance à des pellicules peu abondantes.
Le problème est que les détergents détruisent les crochets qui tiennent les "ardoises". La desquamation est accélérée et les pellicules se multiplient, d'autant plus que la réaction du cuir chevelu à cette agression va accélérer la production des nouvelles cellules rapidement déchaussées à leur tour. L'emballement de cette production s'accompagne d'un état inflammatoire local, avec une congestion des petits vaisseaux nourriciers du cuir chevelu, avec une augmentation de la sensibilité qui peut enclencher une habitude de grattage et un prurit.
Le cuir chevelu se sensibilise plus rapidement
La destruction du sébum et le déchaussement des cellules superficielles permet une mise en contact beaucoup plus intime avec des produits sensibilisants
L'épiderme du cuir chevelu est composé, comme celui de la peau, de couches de cellules qui sont de plus en plus amincies quand on va de l'intérieur à l'extérieur; la couche la plus superficielle ressemble à une toiture dont les ardoises seraient les cellules tenues les unes aux autres par de minuscules crochets, Lorsqu'une cellule superficielle a fini son usage, après un certain temps, les crochets cèdent et la cellule se détache, elle desquame. Cette desquamation naturelle se fait lentement, donnant naissance à des pellicules peu abondantes.
Le problème est que les détergents détruisent les crochets qui tiennent les "ardoises". La desquamation est accélérée et les pellicules se multiplient, d'autant plus que la réaction du cuir chevelu à cette agression va accélérer la production des nouvelles cellules rapidement déchaussées à leur tour. L'emballement de cette production s'accompagne d'un état inflammatoire local, avec une congestion des petits vaisseaux nourriciers du cuir chevelu, avec une augmentation de la sensibilité qui peut enclencher une habitude de grattage et un prurit.
Le cuir chevelu se sensibilise plus rapidement
La destruction du sébum et le déchaussement des cellules superficielles permet une mise en contact beaucoup plus intime avec des produits sensibilisants
LA FLORE PROTECTRICE DISPARAIT
Toute la surface de notre peau est porteuse de microbes, bactéries et levures, qui vivent en bonne entente avec nous, occupant un terrain qui, sans eux, serait rapidement occupé par de nouveaux microbes, pas forcément aussi inoffensifs, capables même, parfois, de nous faire la peau ! Cette flore est ordinairement en équilibre et les quelques
microbes potentiellement pathogènes (streptocoques, staphylocoques et candidas) qui y sont présents sont neutralisés. Cet équilibre s'est constitué chez le bébé peu de temps après sa naissance, alors qu'il était protégé des microbes dangereux par les anticorps maternels,
Le détergent peut tout bouleverser, Si son usage était épisodique, cela serait sans importance, car la flore se reconstitue facilement. Mais si l'on déterge constamment, par des shampoings renouvelés, la flore s'affaiblit et se déséquilibre; malheureusement ce sont souvent les moins bonnes espèces qui résistent le mieux ! Le champ est libre pour une prolifération de bactéries donnant des infections, ou de levures donnant des mycoses.
LES CHEVEUX SONT FRAGILISES
Le brillant obtenu après le shampoing est passager et artificiel; le cuir chevelu irrité nourrit moins bien les cheveux dont le rythme de remplacement s'accélère, jusqu'à épuisement; on observe une diminution de la densité des cheveux, pouvant aboutir à une véritable calvitie.
SHAMPOING POUR LES FETES, SAVON QUAND ILS ONT ETE SALIS ,
MAIS EAU TIEDE LE RESTE DU TEMPS.
Un shampoing dont on n'est pas certain qu'il ne contienne aucune base détergente ne devrait être employé qu'exceptionnellement.
Le savon respecte beaucoup plus le cuir chevelu; son inconvénient est de précipiter les sels calcaires de l'eau: pour pallier à cela il est nécessaire de rincer abondamment et de finir par un rinçage à l'eau vinaigrée ou citronnée. Si l'on veut, sans danger, donner du brillant aux cheveux, on peut utiliser la vieille recette qui consiste à utiliser comme savon liquide un jaune d'oeuf dilué dans un peu d'eau tiède, éventuellement additionnée d'une cuillère de rhum.
En respectant ainsi son cuir chevelu, et en ajoutant quelques massages doux du cuir chevelu et de la tête et du cou, vous prenez une OPTION SANTE POUR VOS CHEVEUX.
MAIS EAU TIEDE LE RESTE DU TEMPS.
Un shampoing dont on n'est pas certain qu'il ne contienne aucune base détergente ne devrait être employé qu'exceptionnellement.
Le savon respecte beaucoup plus le cuir chevelu; son inconvénient est de précipiter les sels calcaires de l'eau: pour pallier à cela il est nécessaire de rincer abondamment et de finir par un rinçage à l'eau vinaigrée ou citronnée. Si l'on veut, sans danger, donner du brillant aux cheveux, on peut utiliser la vieille recette qui consiste à utiliser comme savon liquide un jaune d'oeuf dilué dans un peu d'eau tiède, éventuellement additionnée d'une cuillère de rhum.
En respectant ainsi son cuir chevelu, et en ajoutant quelques massages doux du cuir chevelu et de la tête et du cou, vous prenez une OPTION SANTE POUR VOS CHEVEUX.
CECI DIT, L'ETAT GENERAL EST CAPITAL
Il est connu que les cheveux révèlent l'état de santé, que celle-ci soit ou non altéré par une maladie précise. Le dermatologue retrouve souvent, à l'origine de lésions du cuir chevelu, avec ou sans perte de cheveux, diffuse ou localisée (pelade), un stress mal vécu, deuil, séparation, perte d'emploi.
La santé est indivisible
========================================================= =========================================================
* Mise au point réalisée pour Santé pour tous par Luc Jaisson, docteur en médecine, diplômé d'hygiène et de médecine préventive.
Cet opuscule, réalisé en simple impression sur un papier ordinaire, se veut un moyen de communication économique, évitant glaçage et couleurs qui sont l'occasion de disséminer produits chlorés et métaux lourds. Le papier recyclé, plus économique en ressources, entraîne souvent une pollution accrue de l'eau.
Rapport des ACTIVITES 2013
Rapports des activités de 2013
Malgré soucis familiaux et maladies, le Bureau
a poursuivi ses activités toute l’année sans faille.
Les mises au point élaborées ont été joliment
éditées sur le blog par Françoise. Ont été ainsi publiés :
« Cancers : quoi de neuf ? » - « Omégas 3 et omégas
6 » - «De quoi dépend la santé » - « Dépistages et vraie
prévention ». Ces mises au point seront adressées par la Poste aux adhérents non
internautes.
Une interview à distance avec le docteur Jean
Cooren a donné lieu à un résumé éloquent sur les difficultés qui s’accumulent
dans le domaine de la psychiatrie. Ce résumé a été édité début 2014.
L’organisation
des randonnées repose maintenant sur un groupe d’organisateurs, et c’est très
bien ainsi ! Merci à eux ! Je rappelle que ces randonnées sont
ouvertes à tous et que si vous désirez être tenu au courant il est toujours temps de manifester ce désir,
même si vous pensez ne participer que rarement, ou si vous voulez en aviser des
personnes intéressées. Il s’agit chaque fois de deux parcours (d’au maximum 9 kilomètres, le plus
souvent 7 ou moins) l’un dans la matinée, l’autre dans l’après-midi, avec
pique-nique le midi, un dimanche par mois.
En début d’année
nous avons poursuivi l’action commencée en décembre 2012 auprès des
responsables de l’errance de mineurs étrangers dans les rues, d’Amiens en
particulier. La Municipalité,
la Préfecture
et le Conseil Général ont répondu à nos courriers, mais, malgré les rappels, le
Procureur de la République
et le Ministère de la Justice
sont restés muets. Cependant, dans le courant de l’année, des mesures ont été
prises pour éviter l’encombrement de certains Foyers de l’Enfance en répartissant mieux ces jeunes mineurs sur
l’ensemble des départements.
L’assemblée
générale statutaire du 5 avril 2013
a été l’occasion de réfléchir ensemble sur
« l’école et la santé » avec Viviane Caron et Paul Oudart. Ce thème
déborde largement celui de la « Santé Scolaire ». On peut se réjouir
du fait que la santé des enfants ait été prise en considération dans la réforme
mise en œuvre cette année : certes il y a là une tentative pour mieux
respecter les rythmes biologiques, mais la réforme aggrave la fréquence des
trajets imposés par le choix, nullement remis en question, du regroupement des
lieux d’enseignement, regroupement dramatique pour le monde rural et maléfique
pour la santé des enfants.
Santé pour Tous a
participé à la grande fête associative que représente Agora. Notre stand centré
sur le thème : « De quoi dépend la santé » a interpellé pas
mal de passants.
Promouvoir la
santé de tous passe évidement par le respect de la dignité de tout être humain.
C’est pourquoi, le Bureau a pris l’initiative de réagir aux manifestations
racistes dirigées contre Madame Taubira, par un courrier de solidarité adressé
à l’intéressée, avec une interpellation du Ministre de l’Éducation et une
lettre à la Ligue
des Droits de l’Homme ; cette dernière nous a répondu longuement
La réflexion entamée en 2012 sur un Projet de Société centrée sur la santé
a été poursuivie avec l’appui de quelques intervenants non membres du Bureau. Après
avoir analysé les ressorts du monde actuel et de la société française moderne,
nous avons recherché des pistes pour une autre organisation sociale et
économique.
Il reste du pain sur la planche, vous êtes
tous invités à y mettre la main !
Merci à tous !
La
présidente, Christèle Ogez
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