jeudi 16 décembre 2021

ET SI C'ÉTAIT ÇA ?

 


Vous avez mal à la gorge subitement et puis c’est le nez qui coule, les yeux qui piquent et la toux surgit…Ce peut être un simple rhume ou, s’il y a aussi de la fièvre,  des maux de tête et des courbatures, le début d’une grippe saisonnière…Mais le rhume et la grippe, la plupart des adultes en ont déjà fait, savent les reconnaître et les soigner.

Et si c’était le covid ? Si le goût ou l’odorat disparaissent, il n’y a plus de doute, mais si ces signes typiques manquent, ce peut être pourtant le début d’un covid. Dans ce cas, les choses ne se passent pas de la façon dont elles évoluent dans le cas d’un rhume ou d’une grippe, les symptômes  n’évoluent pas de la même manière ; ils se succèdent rapidement, cédant la place à une grande fatigue et, dans les moins bons cas, à des difficultés respiratoires : il faut appeler votre médecin.

Celui-ci  vous fera tester et s’il s’avère qu’il s’agit d’un début de covid, il pourra vous soigner à domicile ;  les autorités elles-mêmes  le disent maintenant. Votre médecin connait vos antécédents, votre mode de vie, votre constitution et votre tempérament. Chaque personne est différente et il pourra vous soigner de la façon la plus adaptée ; il pourra vous donner les conseils d’hygiène générale pour vous et votre entourage et prescrire un antibiotique, un antiinflammatoire comme l’aspirine - qui a l’intérêt d’être aussi anticoagulante,  le covid facilitant les thromboses -, les vitamines et les oligoéléments nécessaires à votre système immunitaire. Pour cela, il se guidera   sur les résultats d’une prise de sang en vue de repérer l’infection, l’inflammation, un manque de vitamine D, et pour vérifier l’intégrité de vos reins et de votre foie.

A ces prescriptions on pourrait ajouter l’usage d’huiles essentielles, par voie cutanée ou  par inhalation : Ravintsara, Tea Tree ou Ylang Ylang, Eucalyptus.

Des médecins prescripteurs, dont des professeurs en médecine,  ont observé des effets bénéfiques de traitements comportant en plus un antipaludéen (note N°3), un antiparasitaire, ou un antidiabétique qui ont souvent aussi un effet antiinflammatoire, avec souvent un apport systématique de zinc et de vitamine D (Note n°4). D’autres professeurs ont récusé ces traitements parce qu’aucun d’entre eux n’avait bénéficié de la preuve scientifique apportée par des études randomisées en double aveugle (note n°1). Certes, à notre connaissance,  de telles études  manquent encore ; cela s’explique facilement quand on sait qu’elles demandent des crédits considérables et beaucoup de temps (note n°2)

Si la maladie persiste et s’aggrave votre médecin pourra facilement vérifier votre taux d’oxygène et, s’il le faut, prescrire un oxygénateur à domicile (pris en charge par la Sécurité Sociale et très rapidement disponible en France). Et, dans la plupart des cas, tout finira par bien s’arranger…

L’hospitalisation reste alors ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être: le recours en cas d’impossibilité de soins à domicile.

                                                     fin

 

Note N°1 : voir aussi, à ce sujet, sur le blog, les mises au point  sur la randomisation et l’épidémiologie.

Note N°2 : pour étudier les traitements en question, il faudrait une étude multicentrique mettant en observation cinq ou six groupes traités avec un groupe témoin, et, dans chaque groupe, au moins 100 personnes volontaires choisies de façon à obtenir des groupes comparables au niveau de l’âge, du sexe et de l’état de santé préalable tous suivis pendant une assez longue durée nécessaire pour en repérer les éventuels effets secondaires…

Note N°3 : Le génome du virus comporterait, selon des généticiens réputés, une séquence commune avec celui du parasite paludéen.

Note N°4 : pour davantage de précisions, vous pouvez consulter le secrétariat au O322420735 ou la vice-présidente de l’association au 0951580548.

mardi 16 novembre 2021

Éclaircies ...

 


 

Santé pour Tous             Novembre 2021                                                           

Éclaircies ?

DEUX FAITS :                                                                                          

            1/ Les vaccins à ARNm introduisent dans les cellules un segment de génome étranger.

En principe un ARN ne peut s’associer   au génome humain qui est un ADN sauf s il y a rencontre avec une enzyme rétro transcriptase.
 N’oublions pas que, hors du noyau il y a de l’ADN dans les mitochondries, (Note N° 1).  

    Rien n’empêche le contact entre cet ADN mitochondrial et l’ARN m des vaccins en présence de la retro transcriptase quand ils sont introduits dans nos cellules sous forme de nano particules ainsi que le précisent les labos créateurs de ces vaccins nouveaux. (Note N°2). 

 Certes cette rencontre qui transforme l'ARN m en ADN n'est pas fréquente, mais pas impossible, transformant ainsi notre génome. Cette question n'est pas résolue, les recherches sont en cours. De plus cette insertion peut être néfaste ou bonne. Attendons.

           2/ Les patients peuvent être soignés à domicile

  Selon de nombreux témoins, et notre expérience, si l’on donne dès les premiers signes chez des personnes sans comorbidité, ayant un bon système immunitaire, un traitement approprié en quelques jours la maladie est terminée ... L’ HAS préconise maintenant, des anti-inflammatoires dont l’aspirine ... et le médecin jugera s’il faut ajouter un antibiotique ou autre chose., en surveillant la teneur en oxygène du sang.

 

Note N° 1 Les mitochondries ne sont pas seulement des « usines » qui fabriquent les protéines dont nous avons besoin, en répondant aux commandes émises par le noyau.  Ce sont des éléments des cellules animales ou végétales dont le rôle essentiel est d'assurer l'oxydation, la respiration cellulaire, la mise en réserve de l'énergie par la cellule et le stockage de certaines substances. La part mitochondriale du génome humain   transmise par l’ovule de la mère à l’embryon constitue un « patrimoine » que seules les femmes transmettent. Faute de comporter autre chose qu’un noyau, le spermatozoïde ne transmet pas d’ADN mitochondrial.                            

Note N° 2 Ces nano particules enrobées d’une fine couche de molécules graisseuses sont capables de traverser tous les obstacles que l’organisme comporte.

 

samedi 23 octobre 2021

Maladies du siècle suite et fin .


 

Plutôt que de chercher une prévention maladie par maladie, il est plus simple d’interrompre les processus qui mènent à la maladie. Ces processus sont souvent communs à des maladies différentes : réduire l’un d’entre eux revient alors à réduire le risque d’une quantité de maladies. Ainsi on multiplie les bénéfices, on économise les moyens et on gagne en efficacité.

QUELS SONT CES PROCESSUS COMMUNS ?

Deux d’entre eux sont maintenant de plus en plus documentés pour les maladies cardiovasculaires et les cancers les plus fréquents, et ils sont retrouvés dans d’autres maladies chaque fois qu’ils sont recherchés; ce sont le manque d‘exercice physique et un état de stress chronique. Deux autres processus sont moins documentés mais très fréquemment retrouvés, il s’agit de l’inflammation chronique (1) et de la tendance aux thromboses, toutes deux très liées à une alimentation inadaptée et à la pollution.

Le manque d’exercice est devenu considérable : on ne marche presque plus, la plupart des tâches manuelles est assumée par des machines. Seule une minorité pratique un sport raisonnable tandis que le sport « de haut niveau », même quand il n’est pas contaminé par le dopage, est devenu une source de surmenage délétère.  

Le stress est nourri de la menace permanente d’une guerre nucléaire et de la foule sans cesse renouvelée des informations émotionnantes ;  il est renforcé par l’exigence de la vitesse valorisée en toutes occasions : transports,  travail, communications et loisirs, au point que les plus costauds finissent en burn-out. 

L’alimentation est devenue trop riche en calories : trop  de sucre, trop de sel et d’aliments raffinés pauvres en fibres et en oligoéléments, trop de viandes grillées, de charcuterie, de fromages et d’aliments industriels très transformés et bourrés d’additifs. D’un autre côté, la consommation des légumes, frais ou secs, a chuté. Parmi les boissons alcoolisées, seule la consommation de vin rouge a diminué. La consommation de boissons sucrées a considérablement augmenté et souvent les enfants en boivent davantage qu’ils ne mangent de fruits. La consommation de pain a diminué tandis que « les céréales » du petit déjeuner apportent surtout du  sucre et du sel  quand ce n’est pas des graisses grillées !  L’usage inconsidéré des huiles trop riches en omégas 6 (2) et la forte consommation de viandes a entrainé un déséquilibre des apports en acides gras essentiels favorisant les thromboses.     

Les  pollutions par le plomb et le mercure ont diminué et le tabagisme a régressé, mais l’exposition aux micro et nanoparticules, à l’aluminium, au nickel, au chrome, au cadmium, au titane et à l’arsenic, aux produits chimiques chlorés, phénolés et benzolés omni présents, allergisants, perturbateurs hormonaux ou cancérigènes a crû considérablement. La radioactivité générale a doublé(3).

Ces processus délétères sont liés entre eux et dépendent tous d’une modernité où tout ce qui est vendable et profitable est bon à produire et à faire consommer massivement grâce à une publicité omni présente. Dans ces conditions chacun peut tenter de limiter un peu les atteintes à sa santé et à celle de ses proches  mais la pauvreté et la précarité mettent ces tentatives hors de portée pour une proportion croissante de la population.

Seul sera véritablement efficace et équitable le passage à un nouveau projet de société respectueux des personnes et de la planète.

 

Note N°1 – Voir la mise au  point « L’état inflammatoire chronique » sur le blog

Note N°2 – voir la mise au point « Pour en finir avec les omégas »

Note N°3 – Ce qui coïncide ( ?) avec un doublement de la fréquence des leucémies infantiles.