lundi 29 mars 2021

En finir avec le cholestérol

 

                                   EN FINIR AVEC LE CHOLESTÉROL

 


 

La mise au point éditée sur le blog en 2018 mettait en cause la responsabilité des graisses et du cholestérol dans les maladies cardiovasculaires. (Note 1),

Début 2019, notre association est sollicitée pour accueillir Cassandra comme stagiaire devant préparer un mémoire de Licence 3 « Sciences de la santé, mention biologie humaine ». Nous lui proposons comme sujet : « Le rôle du cholestérol dans les maladies cardiovasculaires ». La recherche bibliographique effectuée fort sérieusement par Cassandra conclut en l’absence de responsabilité du cholestérol dans ces maladies : la paroi des artères se charge de cholestérol parce qu’elle est malade, comme souvent elle se charge de calcaire mais ces dépôts ne sont pas la cause de la maladie (Note 2).

UNE ERREUR HISTORIQUE. -                                                                                                                                              En 1955, Ancel Keys accuse le cholestérol et les graisses saturées d’être la cause des maladies cardiovasculaires. Toutes les autres hypothèses sont abandonnées et leurs auteurs mis au placard. Il a fallu 60 ans pour que des chercheurs, relisant les études dont Keys s’était inspiré s’aperçoivent qu’elles avaient été mal interprétées.

Il s’ensuit que les traitements visant à abaisser le taux de cholestérol dans le sang n’ont plus aucune justification. D’autant qu’aucune étude n’avait montré un allongement de la survie chez les sujets astreints aux statines, médicaments les plus prescrits. Le fait que beaucoup de médecins prescrivent encore des statines est dû à un manque d’informations indépendantes.

Ni le cholestérol ni l’excès de graisses dans l’alimentation ne causent les maladies cardiovasculaires (note 3). IL FAUT CHERCHER AILLEURS…

 

 

Note n°1 Voir sur le blog « Révolution alimentaire », avril 2018

Note n°2 Bibliographie complète sur demande (trois pages)

Note n°3 Mises à part les graisses cuites entrainant des corps « trans ». 

 

mercredi 20 janvier 2021

Explications

 

 

Santé pour Tous                                                                            janvier 2021

Explications

DEUX FAITS :                                                                                          

            1/ Les vaccins à ARN messager sont basés sur l' introduction  dans les cellule  d'un segment de génome étranger , ici l'ARN messager  du virus  Covid 19 sous forme de nano particules. ( note N° 1)

An principe un ARN ne peut  s'associer   au génome humain qui est un ADN ; sauf si  il  y a rencontre avec une enzyme  rétro transcriptase .                                              
 
Il y a de l’ADN dans le noyau des cellules et aussi dans  les mitochondries, hors du noyau (Note N° 2).  

 

 Certes cette  rencontre qui  transforme l'ARN m en ADN n'est pas fréquente , mais pas impossible, transformant ainsi notre génome . Cette question n'est pas résolue , les recherches sont en cours .

Les vaccins à ARN messager, sont les seuls disponibles aujourd’hui,en France on ne connait pas leurs effets à long terme ni s’ils évitent de façon importante de propager la maladie. 

On pense qu'ils protègent durant un certain temps contre la forme grave de la maladie.

           2/ Les patients peuvent être soignés à domicile

  Selon  notre expérience, et des témoins si l’on donne  dès les premiers     symptômes chez des personnes sans comorbidité, ayant un bon système immunitaire ,  un traitement approprié  en 2/3 jours la maladie est terminée ... Les médecins qui ont agi ainsi ont eu peu de patients hospitalisés ... -      

Note N° 1 Les nano particules enrobées d’une fine couche de molécules graisseuses sont capables de traverser tous les obstacles que l’organisme comporte.

Note N° 2 Les mitochondries ne sont pas seulement des « usines » qui fabriquent les protéines dont nous avons besoin, en répondant aux commandes émises par le noyau.  Ce sont des éléments des cellules animales ou végétales dont le rôle essentiel est d'assurer l'oxydation, la respiration cellulaire, la mise en réserve de l'énergie par la cellule et le stockage de certaines substances. La part mitochondriale du génome humain   transmis par l’ovule de la mère à l’embryon constitue un « patrimoine » que seules les femmes transmettent. Faute de comporter autre chose qu’un noyau, le spermatozoïde ne transmet pas d’ADN mitochondrial.                            


 

samedi 12 décembre 2020

Vaccins anti covid à ARN messager

 

Santé pour Tous                                            ce 12/12/20

Les VACCINS ANTI-COVID 19, en cours d’homologation et déjà utilisés en Grande-Bretagne sont  des vaccins à « ARN messager » (voir note n°1).

De quoi s’agit-il ? Le  COVID 19 (COronaro VIrus Desease 2019) est composé  d’ARN  dont une fraction  est à l’origine de la fabrication d’une protéine particulière à ce virus, la protéine  « S » (voir note n° 2).  Il est aujourd’hui possible d’isoler cette fraction d’ARN et de l’inoculer pour le multiplier dans une culture de cellules.

Cet ARN est fragile. Cependant,  on est parvenu à le recueillir, à le rendre moins agressif, à l’enrober d’une fine enveloppe graisseuse, et à le préparer  sous forme de « nano gouttelettes » capables de franchir la paroi de toute cellule.

Le vaccin ainsi préparé devra être  conservé à basse ou très basse température. Injecté il va  introduire dans  les cellules du corps cet ARN, lequel aura le temps de donner ses  ordres  avant d’être détruit.  En un court laps de temps, les cellules touchées vont  produire  de  la  protéine S.

La brusque irruption d’une protéine étrangère va entrainer une rapide réaction défensive, une sorte « d’orage immunitaire » sans graves conséquences si le système immunitaire est en bon état.

La réaction induite est vigoureuse, nul besoin de doter ces vaccins d’adjuvants renforçateurs pour obtenir une protection contre la protéine S …et contre le virus !.

Une efficacité immédiate quasi absolue semble acquise si l’on en croit les deux industries   productrices (Moderna et Pfizer). Selon leurs déclarations, elle est cependant beaucoup moins bonne chez les personnes de plus de 75 ans et contre certaines formes graves ; enfin  les personnes vaccinées pourraient être porteuses saines et donc propager le virus.

Vue  la rapidité  de la mise en œuvre, il est  «logique» que l’on ne sache rien  ni de l’efficacité  ni de l’innocuité (à moyen ou long terme) d’un type de vaccin jamais utilisé jusqu’alors chez l’être humain.

Si le système immunitaire est immature, affaibli, déréglé ou défectueux, l’effet d’une telle vaccination  est encore insuffisamment   documenté.

Or, notre système immunitaire est immature avant 2 ans. Il s’affaiblit après 65 ans. Il est déréglé chez les sujets allergiques ou soumis à des traitements cortisoniques ou anti rejet. Il est défectueux  en cas de maladie auto-immune ainsi qu’en situation de stress et/ou d’intoxication.

Moderna  déclare que 42% de ses volontaires présentaient un facteur de risque, sans autre précision. Chez Pfizer, les volontaires étaient de tous les âges, avec un pourcentage non négligeable d’obèses, d’hypertendus et de diabétiques.

L’expérience britannique en cours n’a jusqu’à présent occasionné que deux réactions potentiellement mortelles corrigées in extremis chez deux personnes hyperallergiques.

Le fait, non démenti, que les gouvernements se soient engagés -envers les laboratoires-  à assumer les risques liés à l’utilisation de ces vaccins n’a, en soi, rien de totalement rassurant.                          

Pour conclure provisoirement

Compte –tenu du fait que le COVID 19  ne tue qu’une très faible proportion des gens qu’il contamine, est-ce une réponse proportionnée que de vacciner  et de revacciner à grands frais toute la population, est-ce prioritaire ?

Françoise DELEMOTTE, médecin pédiatre, ne nous rappelait-elle pas sans cesse : « Pensez aux enfants » ? 

 Les milliards dépensés ne seraient-ils pas mieux employés pour qu’aucun enfant, nulle part, ne meure plus de faim et/ou de maladies facilement guérissables ou évitables ?

NOTES :

1/ ARN messager : dans les cellules, des ARN transmettent les ordres du noyau au reste de la cellule ; dans les vaccins « à ARN messager », la différence réside dans le fait que l’ARN inoculé est étranger.

2/ Cette protéine S se retrouve dans la couronne du virus sous la forme de « spicules » (petits crampons) qui lui permettent de s’accrocher aux cellules de notre corps afin d’y pénétrer.