lundi 30 novembre 2020

Pleurer

 

PLEURER, avoir de la peine sans se résigner.

Nous sommes tous malheureux des décès prématurés et des  souffrances de toutes sortes provoquées par la situation actuelle.

MAIS NE PAS PANIQUER !  

 
Ne nous laissons pas intimider par les chiffres qui nous sont livrés, chaque jour, sur tous les médias.  

 En premier lieu, par  le nombre ou le pourcentage de positifs aux tests : l’un et l’autre n’ont qu’un faible rapport avec la réalité puisqu’il est certain que la population testée n’est absolument pas représentative de la population résidant en France et que l’énorme majorité des personnes « positives » restent en bonne santé.   

 Les seuls chiffres intéressants sont ceux de la mortalité. Admettons de les retenir comme indicateurs, en passant sur le fait qu’en France les certificats de décès indiquent la cause immédiate sans forcément la rattacher à l’évolution terminale d’une maladie chronique ayant provoqué ou facilité la cause immédiate.

Si l’on s’en tient donc aux chiffres de la mortalité quotidienne, que voyons-nous ?

Une alerte lancée quand la mortalité quotidienne attribuée au Covid 19 a atteint le chiffre de 500. Ce chiffre est à rapporter à la réalité quotidienne : tous les jours, en moyenne il y a, en France, environ 1500 décès, et,… environ 2000 naissances, c’est la vie !

Il est probable, vaccin ou pas, qu’il nous faudra cohabiter avec ce nouveau virus, tout comme nous cohabitons, le plus souvent, pacifiquement, avec quantité de microbes potentiellement dangereux.

Dans l’immédiat, sans être toujours persuadés que toutes les mesures prises le soient à juste titre, nous pouvons accepter de nous plier aux injonctions gouvernementales, non sans regretter qu’en France, les « Hautes Autorités » nous traitent en irresponsables et non en citoyens adultes. Mais cela est une autre histoire, et, pour l’instant, il vaut mieux en rire !